Poste par Amy / 15 juin 2015 / 3 Commentaires
C’est assis Avec le canape, moi allongee, ma tete concernant ses mollets ; et on se raconte nos vies. J’essaie pour ne pas affirmer a une main qui caresse nonchalamment ma cuisse, se rapprochant lentement Pourtant surement du entre-jambe. J’essaye pour maitriser ma voix tandis que l’ensemble de ses doigts arrivent via notre sexe, Notre touchant a travers Notre tissu du short.
J’essaye de ne point attirer l’attention dans mes tetons deja durcis, j’ essaie pour raisonner ma respiration, et en vain s’accelere malgre moi. J’ai tellement le desir de sexe, j’ai tellement l’envie de lui . Il va ma drogue interdite et j’ ne devrais pas me retrouver la. Toujours.
Sa propre caresse se fait De surcroit qui plus est precise, j’ sens bien qu’il essaye de se frayer 1 chemin avec mon vetement et Notre short fera corps avec Grace a moi. J’me marche vers lui, une tronche est appuyee dans Mon mur, Cela ne me regarde Manque, j’ai vue concernant sa gorge et j’ Ce vois deglutir cela simple geste m’acheve et j’ ne bouge nullement j’ crois i chaque fois que ne pas bouger me sauvera. Y baisse ses jambes par moi, Cela baisse sa propre tronche par moi et fait mon grand coup pour langue via ma bouche. Votre contact humide et tendu m’electrise et j’ joins ma langue a J’ai danse. Les levres ne se touchent nullement, juste nos langues qui se cherchent, se trouvent, se calinent. Sa main malaxe ma chatte i chaque fois cachee avec notre vetement. Je me redresse Afin de lui baiser leurs levres et l’echange reste comme d’habitude d’abord doux puis vite vorace et affolant.
« On fait quoi, on bifurque ? » je lui demande exige du indiquant Notre chambre en bout Plusieurs yeux.
Mon fils ne dort toujours pas. Je pense devoir sa jouer en mode silence ce qui n’est vraiment jamais notre tr vraiment j’ai le plaisir bruyant et votre jouissance volubile ! J’ dis pour notre fils que j’ vais m’allonger un brin avec Grace a untel car on est fatigue. « Dors mon c?ur ».
Je ferme soigneusement ma porte a clef, on se deshabille sans ceremonie, j’eteins Notre lumiere et me dirige aupres du lit. Je ne vois quasiment pas grand chose et une telle obscurite m’excite au plus haut point. Je sens plus que j’ ne vois une queue affleurer pour faire mes levres et je mets son sexe au sein de ma bouche et Ce suce tel trop ma vie en dependait. Ses boules seront au sein de la paume et je Ce leche et j’ Un serre et je Mon caresse et j’ l’entends deja soupirer. Il renverse promptement Avec Votre lit et me caresse Ce clito d’un doigt certain tandis que j’ continue pour Mon deguster. Je me rends subitement compte que sa propre position s’est legerement modifiee, son bide est contre Mon mien, sa propre queue entre faire mes levres, une bouche et une langue etran dans mes autres levres… Je ne me sens Classiquement jamais fan du 69 Pourtant la bien me va, bien reste excellent, bien reste indique. J’ perds legerement Mon controle ma suce car ce qu’il me fait la du bas reste extremement perturbant. Ardu de garder Ce rythme des que au sein de la tete tout part en live et que dans le bas de mon ventre Ce bonheur , lequel monte me fait gemir et soupirer. Il me rappelle pour l’ordre
Je remets sa propre queue au sein de la bouche ; ca se doit de m’aider decouvert qu’on ne parle pas la bouche emplie…
Et du tout ! Je me tortille, j’agrippe ses hanches pour ne point me noyer, ma main arrive jusque via sa nuque tel Afin de l’enfoncer bien plus du mon emmenagement, Notre devoir monte et j’ ne desire qu’une chose, Notre sentir en moi. « Viens de moi, toi, viens de mon emmenagement ». Y ne s’fait jamais prier et se redresse pour enfiler une capote. J’habite affamee et j’ai envie deja m’asseoir sur lui. Il rigole « et attend, j’ ne l’ai pas encore mise ! » oh vais faire vite, fais vite, j’ai faim, j’ai faim . « C’est bon ». Je n’entends Pas rien, je me tiens a les epaules et j’ m’empale concernant lui. Le rythme reste fou d’amblee, j’ voudrais qu’il m’emplisse loin, je voudrais le sentir au sein de bien mon physique, je me retiens du bord d’la fenetre et augmente Notre cadence. Il me laisse mener Ce jeu, ses mains sur les hanches, mes cuisses, mes fesses… et je sens votre chaleur devenir etre incandescence et je me mords vos levres et… « Maman ? , ca va ? ».
Je stoppe directe la chevauchee fantastique et prends facilement une voix pour sereine
« Oui ca va. Quest-ce , lequel y’a ? – J’ai 1 bruit. – OK, c’est rien, on tchatche ; va te recoucher. – D’accord ».
Je rigole au sein d’ l’epaule de mon amant. Quelle angoisse ! Pourtant j’suis i chaque fois liee a lui avec les reins et j’oublie tres promptement l’interruption inopinee du bebe. J’me remets pour bouger et onduler, J’me fais reellement violence pour ne point me faire Posseder de seconde fois.
« Tu veux 1 doigt ? – Oui »
On murmure, bouche contre oreille et une telle complicite chaleureuse rend ce moment particulierement intense. Je le baise litteralement votre homme appuye contre mon mur et tandis que je m’active via son penis j’ sens Ce doigt Avec notre cul et je me dis que c’est ca notre vie.
« J’ai le desir de t’enculer ».
Oh moi alors j’ai le desir ! Fais-moi Le que tu desire . Sans meme lui satisfaire, je descends pour Avec lui et me met du position levrette. Cela se positionne derriere moi et me rentre dessus sans discussion. Votre homme a sa e queue pour ma porte secrete… Mon premier coup est 1 detonnant melange pour douleur et de devoir et il est oblige de mettre sa propre main Avec ma bouche.
Dieu que j’aime ca .
De la de ses main agrippe ma hanche, l’autre attrape mes ongles, j’habite une prisonniere consentante , lequel s’fait baiser comme de la chienne et , lequel adore ca.
« Vas y plus fort ».
Ses 2 mains se positionnent fermement dans les hanches et il m’accorde votre que je demande exige. Je vais crier. Puree, je sens que j’ vais crier. Leurs sensations seront tr fortes, Un ravissement reste une lave brulante qui part de les fesses, marche le long ma colonne, irradie chaque fibre du physique et me laisse du bord d’un hurlement. J’ ne dois pas crier, je ne dois Manque crier older women dating. « humm ca vient, ca doit venir ». J’aime l’entendre.
Je sens les doigts s’enfoncer au sein de la chair, Cela perd le controle, Cela se fige et s’ecroule concernant le dos. J’ m’ecroule avec Grace a lui. Nous sommes de nage, nous sommes haletants, Mon ventilateur ne sert Pas a rien avec des annees. J’me blottis contre lui et leche son visage et Ce cou, sa propre poitrine. Je bois J’ai sueur a meme son c?ur, j’ le caresse, je voudrais parfois que nos physique ne fasse qu’un.
Le silence s’installe. Nos sens s’apaisent. Je murmure.
« parfois, je trouve que c’est high level… – Toi ? ou votre serviteur ?»