Communique comptables – Lundi 7 juillet 2020 – Pour diffusion immediate
L’attention portee a toutes les feminicides ou la recente victoire aux elections municipales de dames incarnant le renouvellement politique dans de grandes villes traduisent un changement de mentalites. Mais si la question de l’egalite hommes-femmes et des feminismes est hautement politique, elle est aussi culturelle, personnelle et intime. Et devra etre traversee via une narration alternative.
C’est dans ce postulat que Gloria Media, societe fondee via l’activiste feministe Rebecca Amsellem, edite des newsletters dont, Mes Glorieuses, qui s’adresse chaque semaine a une communaute atteignant environ 150 000 personnes qualifiees aujourd’hui. Mes Glorieuses ouvrent cet ete leur redaction a six autrices Afin de elargir le champ des constats a des visions porteuses d’un imaginaire qui fait sens. Cela va etre ainsi question d’utopies et d’amour dans une agence feministe.
Pour Rebecca Amsellem : “Dans le cadre de faire mes recherches feministes, je me plais a imaginer l’univers que les consoeurs activistes et moi-meme nous souhaitons construire. A quoi ressemble la societe feministe pour laquelle nous nous battons ? Quelle est la place du politique ? Quelle est le poste de l’intime ? De l’economie ? De l’argent ? D’une sexualite ? De l’amour ? Cet ete, Les Glorieuses ont pour ambition de definir les tenants de cette utopie et ses premices. Notre notion d’utopie repose par essence sur 1 paradoxe, elle signifie « nulle part ». C’est une fiction mais les enjeux sont reels. « L’utopie est a l’horizon. Je m’approche de deux gui?re ; elle recule de deux pas. Je fais bien dix nullement et elle s’eloigne en frequent de dix pas encore. J’aurais excellent avancer, je ne l’atteindrai pas. A quoi sert donc l’utopie ? Elle sert a i§a : continuer a avancer » rappelle Eduardo Galeano. L’utopie reste la direction dont nous avons besoin pour continuer a esperer. Sans utopie, il n’y a que des combats vains.”
Cette version d’ete une newsletter des Glorieuses sera accompagnee de collages d’Heloisa Marques, une architecte bresilienne, urbaniste et artiste visuelle dont le mode d’expression de predilection est le collage et la broderie.
Elle integrera des documents signes par des personnalites telles que :
– l’autrice de La Petite Fille dans la banquise, Adelaide Bon,
– l’artiste et realisatrice des Rivieres, Mai Hua,
– l’autrice et journaliste, Mauvaise Fille,
– la journaliste Nesrine Slaoui,
– l’autrice et journaliste Lindsey Tramuta,
– l’autrice et journaliste animatrice du podcast “Les couilles sur la table” Victoire Tuaillon,
– l’autrice beaucoup plus Rouges Leni Zumas.
La version d’ete d’la newsletter Mes Glorieuses va i?tre ponctuee via un entretien exclusif entre Rebecca Amsellem et Deborah Feldman, autrice d’une fort remarquee autobiographie, “Unorthodox”, adaptee a l’ecran avec Netflix.
Soit des le mercredi 9 juillet, autant d’occasion de s’interroger i propos des contours du sentiment si intime qu’est l’amour en s’affranchissant des inegalites systemiques qui le definissent aujourd’hui. L’amour n’est gui?re le premier theme qu’on aborde lorsqu’on parle de revolution feministe. Ou de revolution tout court d’ailleurs. C’est a chacun et chacune de nous d’imaginer a quoi ressemblerait l’amour dans une societe denuee de rapport de pouvoir entre les hommes et ces dames. Un amour, homosexuel, heterosexuel, a votre, a deux ou a mille. Tout est possible.
Tous ces documents exclusifs seront publies via lesglorieuses.fr et accessibles par mail, gratuitement.
Contact presse : Caroline Prak, Mes Glorieuses, 06 62 30 29 84
—Note aux redactions : J’ai fondatrice de Gloria Media reste l’entrepreneure et economiste Rebecca Amsellem, autrice de “Chroniques d’une feministe” aux editions Hoebeke et laureate du prix de these ENCATC pour sa these en economie de la culture “Museums go international : new strategies, business models”, publiee aux Editions Peter Lang.
L’edition d’ete 2020 des Glorieuses reste sponsorisee avec l’appli de rencontre Bumble – App de dating et feminisme : ces deux univers n’ont pas forcement ete compatibles. En outre, Bumble reste nee. Bumble, c’est une application de rencontres creee par une femme qui veut renverser les codes de https://besthookupwebsites.org/fr/zoosk-review/ seduction sexistes et depasses, et injecter un maximum de valeurs au sein des rencontres sur internet. D’abord en imposant une charte qui prone egalite, bienveillance, ouverture et respect, ainsi, cree ainsi un climat sain, securise et inclusif. Ensuite en creant un systeme ou ce paraissent ces dames qui envoient le premier message di?s qu’il y a Match entre deux gens. Enfin en s’engageant concretement contre le sexisme, le racisme, l’homophobie, la transphobie, la grossophobie et l’integralite des discriminations.