« Dans J’ai transition industrielle qu’a connu une pays, c’est un bon enjeu de maintenir le savoir-faire ancestral » (Fabien Giausseran – Robertet)

« Dans J’ai transition industrielle qu’a connu une pays, c’est un bon enjeu de maintenir le savoir-faire ancestral » (Fabien Giausseran – Robertet)

Notre parfumerie c’est des maisons prestigieuses, des grands groupes centenaires, des PME et TPE sous-traitants utiles. Et c’est des champs de fleurs. Actuellement plus que demain. Suivant le dernier recensement agricole, nos exploitations dedies aux plantes a parfum, aromatiques et medicinales ont augmente, en nombre, de 76% en dix annees. La preuve que le parfum est, plus que jamais, un levier majeur de l’economie regionale.

« ils font un bon retour a une production plus locale et c’est bien un procede un savoir-faire qui etait un brin en perdition. Notre rose de Grasse c’est un brin tel au vin. Cette rose reste votre terroir, Du Reste Grasse vient de contribuer a poser une indication geographique protegee (IGP) dans quelques plantes a parfum. Cela reste un signe positif. On voit des jeunes reprendre des exploitations, des terrains qui devaient etre des terrains a batir et qui demeurent des terrains agricoles. On a toute cette industrie qui fleurit et c’est positif », analyse au passage Fabien Giausseran.

L’IA pour recomposer des formules d’antan

Forcement le retour des grandes maisons a aussi joue, redonnant son projecteur sur un bassin historiquement reconnu pour ses savoir-faire.

« J’ai communication des belles maisons autour du facteur authentique et de Grasse a beaucoup aide, Grasse est classe au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2016, il y a donc une vraie reconnaissance mondiale de votre savoir-faire ».

Un savoir-faire ancestral qu’il faut aussi conserver et via ce thi?me, l’ensemble des moyens – aussi nos plus technologiques – sont petits. Chez Robertet, c’est l’intelligence artificielle qui permet de retrouver les formules du passe. Neanmoins, la transmission de generation en generation n’est nullement absente.

« Dans la transition industrielle qu’a connu notre pays, c’est votre bon enjeu de maintenir votre savoir-faire la. Dans les entreprises comme la notre, la majorite des employes y a passe la plus grande partie de sa carriere, voire des familles de generation en generation. Ca nous va permettre de transmettre ces savoir-faire. Mais pour accompagner une telle transition de ressources humaines – et cela a presque trait a la science-fiction – nous utilisons des programmes d’intelligence artificielle pour aller rechercher la facon dont des anciens parfumeurs travaillaient. Une agence tel la notre, nee en 1850, qui fera des parfums depuis les annees 1930, cela fait de nombreuses formules a numeriser. Cela nous permett de retrouver le savoir-faire de l’epoque ».

Robotiser pour faire monter en connaissances techniques

Autre theme qui n’est nullement neutre, celui https://besthookupwebsites.org/fr/snapfuck-review/ d’la robotisation. « Notre groupe a choisi de maintenir ses usines a Grasse, d’investir massivement dans ses outils industriels et pour cela on doit robotiser. Et cela ne souhaite gui?re dire avoir moins d’ouvriers sur ce secteur industriel mais avoir des salaries qui paraissent formes en particulier au controle qualite, a l’amelioration des process. Et c’est ce que Robertet a fait dans ces 10 dernieres annees », explique le directeur general adjoint une division parfumerie du groupe.

Qui reconnait aussi dans le Plan de relance un moyen de faire fructifier tout un ecosysteme, compose de TPE, PME, ETI, grande groupes.

« Notre plan de relance est un outil formidable qui beneficie a bien le bassin et Grasse est enormement dependant de tout votre bassin qui tourne autour d’une parfumerie. Ca concerne nos sous-traitants, les clients, plusieurs transporteurs. On sent que des pouvoirs publics poussent l’industrie sur le territoire et c’est ce qui compte pour des industriels comme nous qui realisons 85% de notre chiffre d’affaires a l’export et contribuons a la balance commerciale d’une France ».

L’export et Le concept des vases communicants

Un export qui ne se dement gui?re. « L’export c’est un brin le phenomene de vases communicants », avoue Fabien Giausseran, indiquant que Notre Chine reste votre marche moins demandeur mais que Quelques autres pays decouvrent 1 attrait pour la parfumerie quand des pays qui avaient un attrait bio pour la parfumerie s’essoufflent. « maintenant, nos belles zones d’exportation que seront en premier lieu des Etats-Unis se portent forcement tres beaucoup. Nous notons de grandes activites concernant le Moyen-Orient ainsi que l’emergence assez folle d’une activite industrielle en Afrique qui apporte des debouches assez incroyables i  propos des marchandises d’entretien et ce que l’on appelle le personnal care ».

Quant au joint-venture, noue avec MyCoach pour donner naissance a Okaia, elle est sinon une diversification, une facon supplementaire de montrer que la chaine de valeur d’une parfumerie n’est pas figee mais s’enrichit de nouvelles saveurs.

Un decideur economique, invite chaque semaine

Pour rappel, depuis ce debut novembre, La Tribune et BFM Nice s’unissent pour proposer chaque semaine une chronique eco, baptisee Marseille Business, qui decrypte l’economie du territoire, ses enjeux, ses defis, les reussites et les problematiques. L’ensemble des mardis, 1 invite vient apporter le eclairage dans une thematique precise.

BFM Nice Cote d’Azur est a retrouver dans le canal 31 de TNT regionale et sur les box au canal 285/518 (SFR), 374 (Orange) et 360 (Bouygues).

J’ai chronique reste animee avec Celine Moncel pour BFM Nice et Laurence Bottero, redactrice en chef du bureau Provence Alpes Cote d’Azur du quotidien economique J’ai Tribune.

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