Mymy, apres avoir ete decue par bien Plusieurs options, y a achete le plaisir !
Comme vous le connaissez si vous avez ecoute l’episode 1 de L’eMymyssion (sinon il va i?tre en replay) (la meuf qui cale sa propre promo a Notre PREMIERE LIGNE, pas mal), je suis celibataire voili pas mal de temps.
Au moment oi? je n’avais pas mexican cupid besoin de draguer
Et avant, j’ai jamais eu besoin de draguer consciemment, ni de me mettre en mode « seduction » : je rencontrais des personnes, dont des mecs (puisque j’habite heterosexuelle) via la fac, les potes, les fi?tes…
Parfois, ca collait, boum, j’etais amoureuse, si lui aussi tant mieux, on est en couple et banco la caravane.
J’ai mis des mois a percuter qu’en bossant plein d’heures par semaine, dans un magazine feminin qui plus reste, et en ayant une vision en vie sociale proche de celle d’un ours en pleine hibernation, j’allais avoir de la peine a rencontrer Notre perle rare, la ou ca ne m’avait jamais pose de problemes avant.
Je me suis donc tournee vers les colli?gues celibataires, qui ont eu le aussi conseil :
« Bah inscris-toi dans des trucs de rencontre ! »
Bon. De base, j’etais pas convaincue, mais c’etait ca ou aller dehors pour parler a des inconnus. Horreur. J’ai donc tente plusieurs sites de rencontres avant de tomber sur OkCupid, qui m’a convaincue !
Quand j’ai teste Tinder
Premier test d’appli de rencontres, Tinder, the place to be quand tu veux pecho.
Petit rappel pour celles du fond : sur Tinder, tu te connectes via Facebook, ainsi, selon tes amis et tes styles, l’appli vous propose des profils geolocalises pas trop loin de toi.
Un glissement du pouce a droite et le webmaster saura te demander l’aide si elle te valide aussi (un « match ») ; un a gauche et c’est bye bye Blondie, non merci.
« Tinder : c’est comme ca que les mecs se rencontrent. C’est tel la vraie vie, mais en mieux. »
Voila ce que promet l’application, des rencontres reelles et spontanees, encore plus que dans la vie. Bon.
En trois mouvements du pouce, mon profil est cree, j’ai mis deux-trois photos, copie/colle la bio du compte Twitter parce que j’avais gui?re d’idees, ainsi, roulez jeunesse, j’etais prete a swiper tel on evoque.
Tinder, c’est assez addictif au debut. Les photos defilent, on se cale n’importe De quelle fai§on dans le canape, on commente au milieu des colli?gues, on recoit des alertes quand ca « matche », on papillonne, en gros.
Et depuis une grosse grosse tendance « je partage la photo de profil avec un animal », en tout cas chez ces messieurs : du chaton a l’elephant en passant par le boa, j’ai bien decouvert !
Pourquoi je n’ai gui?re aime Tinder
Mais voila, j’ai un probleme avec Tinder : un coup que j’ai « valide » un mec et qu’il a fait ainsi avec moi, je peux discuter avec lui. Cool.
Mais je ne sais gui?re quoi lui dire. Parce que je n’ai rien pour le connaitre !
Trois-quatre lignes de bio (et bien, lorsqu’il a retourne moyen d’ecrire quelque chose), autant de photos, des fois des « like » en commun (cool, on kiffe tous les deux la page de Bref., comme environ 94,2% des gens de notre age)…
Complexe de reperer un thi?me de conversation, surtout si on reste aussi nulle que moi en « small talk ».
J’ai desinstalle et reinstalle Tinder une poignee de fois, ainsi, puis je m’y suis resignee : votre appli, c’est gui?re i mon sens, nullement Afin de les gens qui ont besoin de connaitre legerement un individu avant de se jeter a l’eau.
Quand j’ai teste Adopte Un Mec
Bon, i priori, j’ai besoin d’en savoir plus via le webmaster avant de pouvoir commencer a lui parler.
Direction donc Adopte un Mec, enormissime site de rencontres qui me semblait un tantinet plus adequat a la generation que Meetic, connote fort « adulte » dans mon petit cerveau.
Sur Adopte (pour nos intimes), on a votre profil beaucoup plus rempli, on va pouvoir definir ses Plusieurs « attentes » en matiere de rencontres.
Di?s que les hommes envoient a toutes les jeunes femmes un « charme » (une facon de leur faire « tap tap » sur l’epaule, quoi) c’est a ces dernieres de un accorder ou non l’autorisation de communiquer. Si on accepte, on peut alors echanger par messages prives.
Vous l’aurez peut-etre vu venir… j’ai eu le aussi probleme qu’avec Tinder.
J’ai ete « charmee » a deux reprises mais je ne savais pas quoi dire a ces gars, je n’arrive jamais a trouver de phrase d’accroche, je ne sais pas quoi leur demander ni de quoi leur causer.
Et apparemment, pour eux c’est la meme chose puisqu’ils ne viennent gui?re non plus me parler !
J’me suis fait une raison : les sites et applis de rencontres, c’etait gui?re pour moi. J’allais plutot me aller les doigts et plonger dans [frisson d’horreur] un chacun reel.
OkCupid, la revelation
Ceux et celles qui me connaissent sauront que je n’ai jamais du tout ete me plonger au monde reel : j’suis restee PEPOUZE sur mon canape, avec mon Grisou Momo, resignee a crever d’ennui, seule, autour de les 68 ans, aux cotes de Momo #2 ou #3.
Et j’ai nullement pecho. Brrref.
C’est au cours d’un dimanche paresseux que je suis tombee concernant des tweets de filles mentionnant des messages OkCupid. Je connaissais de reputation cette page de rencontres americain et je savais qu’il etait aussi present en France.
M’extirpant difficilement d’un ennui quasi-delicieux, j’ai decide de me batir un profil ainsi que voir si l’herbe n’etait pas plus causante la-bas… peut-etre aussi parce que je venais de voir Two Night Stand et que j’esperais y tomber sur mon Miles Teller.
OkCupid propose de construire votre profil tres complet, de choisir quel(s) genre(s) on cherche, pour quel(s) type(s) de relation(s), dans quelle(s) zone(s) geographique(s)…
Mes questions via OkCupid
Le gros plus du site, c’est qu’on est en mesure de passer looooongtemps a repondre a des dizaines et des dizaines de questions, de la plus precise a la plus derisoire.
Tu prendrais quoi comme i?tre capable de entre voler et etre invisible ? Tu es plutot chat ou chien ? Tu penses que l’homosexualite est votre peche ?
Quand on repond, on indique si la reponse des autres est importante ou non a nos yeux.
J’ai pu ainsi indiquer qu’il n’etait nullement important que les interlocuteurs preferent l’invisibilite, comme moi, mais qu’il etait essentiel qu’ils n’estiment nullement qu’une couleur au soleil coi»te plus qu’une nouvelle.